lundi 8 avril 2019

Fitz, tome 4 : Trois fourmis en file indienne, d'Olivier Gay


Auteur·trice·s : Olivier Gay
Éditeur·trice : Du Masque
Pages : 268
Date de parution : Mars 2015
Genre·s : Roman, policier

Synopsis : Un attentat dans le métro parisien. Une vente aux enchères. Un milliardaire au sourire trop large. Des soldats en treillis. Des directives de l’antiterrorisme. Une île paradisiaque. Du sable blanc. Des fusils d’assaut. Et Fitz. Ce dealer, dragueur et parasite mondain n’a rien d’un James Bond. Alors pourquoi se trouve-t-il au centre du complot ?

Mon avis : Près d'un an après avoir achevé le troisième tome avec Mais je fais quoi du corps ?, je me suis lancée dans le quatrième et dernier - du moins, pour le moment - opus de la saga Fitz

Cette fois, notre héros doit se rendre sur une île paradisiaque afin de rendre un service à Bob, le hackeur, suite à la promesse qui lui avait faite dans l'ouvrage précédent. Mais rien ne va se passer comme prévu puisque l'homme a qui l'île appartient est soupçonné de financer des actes terroristes. Fitz va donc devoir être accompagné d'une personne avec qui il ne préférerait pas partir... 

Fitz va se retrouver de nouveau enquêteur malgré lui et il va devoir se débrouiller seul - ou presque - puisque ses ami·e·s Déborah et Moussah ne peuvent pas venir avec lui. Je déplore leur absence puisque ce sont des personnages que j'aime beaucoup et qu'on les a très peu vu·e·s dans ce dernier roman. En revanche, apprendre à mieux découvrir Jessica, protagoniste récurrente depuis le début de la série, était sympathique. 

De manière générale, j'ai un peu moins aimé Trois fourmis en file indienne par rapport aux précédents ouvrages. En effet, l'intrigue est intéressante et c'était un plaisir de retrouver ce paumé de Fitz, mais il manquait un petit quelque chose, probablement du à l'absence de Moussah et Déborah. En revanche, nous en apprenons un peu plus sur Bob (un peu trop, peut-être ?) et j'ai bien envie de voir un cinquième tome pointer le bout de son nez afin de mieux comprendre. 

Les références (celle à Game of Thrones m'a beaucoup amusée, d'ailleurs !) sont toujours très présentes et nous en apprenons un peu sur l'art, au passage. L'écriture d'Olivier Gay est très fluide, si bien que j'ai rapidement terminé le récit. Il y a des moments très drôles, comme d'habitude, et je retiendrai le casse-tête servi par une des protagonistes. 

14/20

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire