Auteur·trice·s : Victor Hugo
Éditeur·trice : Le Cercle du Bibliophile
Pages : 568
Date de parution : 1963
Genre·s : Roman, classique, aventure
Synopsis : La Durance, un navire marchand, est échoué sur des récifs. Le
propriétaire du bateau promet la main de sa fille, Déruchette, à
quiconque s'aventurera à réparer le navire. Gilliat, un jeune homme
simple d'esprit, et amoureux de Déruchette, va entreprendre cette
périlleuse entreprise. Un magnifique récit épique, une lutte entre un
homme et l'océan.
Mon avis : Après pas mal d'années, j'ai enfin pris la décision de sortir ce livre de ma pile à lire, notamment grâce au Pumpkin autumn challenge (en effet, cela me permettait de remplir une catégorie, tout en lisant un livre qui traînait dans mes étagères !)
L'histoire, je ne l'ai pas bien comprise, de prime abord. Nous suivons Gilliat, un pêcheur éperdu de Déruchette, qui se décide à réparer le navire marchand La Durance afin de conquérir le cœur de celle qu'il aime, puisque la récompense est de pouvoir l'épouser.
Au fil de ses digressions, l'auteur nous amène en fin de compte sur un portrait de la nature et ce roman est un hymne à la mer. Malheureusement, les longues descriptions m'ont ennuyée et ne m'ont pas permis d'apprécier pleinement la plume de l'auteur (pourtant, cela m'avait parut moins long avec Les Misérables, qui est bien plus épais).
En revanche, je reconnais les qualités indéniables de ce livre, mais je n'ai simplement pas accroché. Ce n'est pas ce qui me fera arrêter de lire Hugo, bien que je sois dérangée par le racisme que j'ai perçu dans cet ouvrage (avec l'utilisation, à plusieurs reprises, du N word). On va sans doute me répliquer que c'était une autre époque, mais d'autres avaient dit des choses plus progressistes avant lui. Mais je m'aventure dans un autre débat...
D'ailleurs, en parlant d'aventure, ce roman en est un, mais il avait le défaut d'être trop long pour moi - du moins, à ce moment-là.
14/20
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