Illustrateur·trice·s : Enki Bilal
Scénariste·s : Enki Bilal
Éditeur·trice : Casterman
Pages : 100
Date de parution : 2009
Genre·s : Bande-dessinée, science-fiction
Synopsis : Dans ce monde dont on ne sait trop s'il est l'émanation d'une histoire
parallèle ou simplement le récit de notre futur, le dérèglement
climatique s'est brutalement généralisé. La catastrophe porte un nom :
le Coup de Sang. Sur la planète dévastée, martyrisée, l'eau potable est
soudain devenue un trésor, et la survie individuelle l'obsession de
chacun. Désormais, les transports sont rares et dangereux, les
communications aléatoires. Seuls quelques Eldorados très isolés, refuges
protégés par leur situation géographique particulière, ont réussi à
préserver un semblant d'ordre social. On ne peut les rejoindre que par
la mer, immense; l'unique milieu naturel, peut-être, qui conserve
quelque chance de perdurer en ces temps d'incertitude absolue...
Mon avis : Depuis le temps que j'entends parler d'Enki Bilal, il était temps que je le découvre. J'ai choisi de lire ce livre parce que le contexte post-apocalyptique me plaisait. En effet, un dérèglement climatique s'est généralisé, et sur la planète, l'eau potable est devenue rare, et quelques personnes ont survécu, notamment grâce à des mutations.
Autant dire que ça partait bien, d'autant que le style graphique m'a beaucoup plu. Les nuances de gris correspondent parfaitement à cet univers post-apocalypique, et les quelques couleurs - le rouge - qui sont légèrement présentes renforce ce trait.
Mais l'histoire, je l'ai vite lue, et elle sera malheureusement vite oubliée. Il y a peut-être un message que je n'ai pas saisi, je ne sais pas. Animal'z traite - entre autres choses - des hybrides (mélange entre un animal et un humain), mais il n'y a pas de réelle profondeur. Les personnages ne sont pas spécialement intéressants, et j'avais presque hâte de finir ma lecture.
Alors quoi ? Je suis passée à côté du message ? C'est possible. Mais en tous cas, ça ne l'a pas fait avec moi. Je pourrais néanmoins laisser une autre chance à Enki Bilal, d'autant plus que j'ai apprécié les illustrations.
11/20
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