Auteur·trice·s : Malika Ferdjoukh
Éditeur·trice : L'Ecole des Loisirs
Collection : Médium
Pages : 192
Date de parution : 2003
Genre : Jeunesse
Synopsis : Hortense, sur SA falaise, tient SON journal intime.
Elle y raconte combien c'est dur d'être 1 sur 5, une parmi la multitude, surtout quand cette multitude est composée de :
- Charlie qui veut tout réparer à la Vill'Hervé et regarder à la dépense au lieu d'épouser Basile le docteur, de vivre à ses crochets et de fêter Noël au foie gras.
- Geneviève qui ment alors qu'elle ne ment jamais.
- Bettina qui est odieuse avec les êtres les plus sensibles de l'univers, à savoir : elle, Hortense, et Merlin Gillespie, le livreur magicien de Nanouk Surgelés, très, très laid à l'extérieur, mais si, si beau à l'intérieur.
- Et Enid qui a des conversations à bâtons rompus avec son ami Gnome de la Chasse d'eau.
Hortense se demande ce qu'elle va devenir. Architecte de monuments éternels ? Zuleika Lester, du feuilleton Cooper Lane ? Chirurgienne de maladies incurables ? Et si c'était comédienne ? Une idée folle, complètement Saint-Pierre-et-Miquelon, comme dirait Muguette, la locataire malade de la maison voisine.
Hortense sait que pour devenir comédienne, il faut une présence, une voix, de la mémoire, mais surtout de l'entraînement. Alors elle referme SON journal, elle quitte SA falaise, et elle fonce.
Elle y raconte combien c'est dur d'être 1 sur 5, une parmi la multitude, surtout quand cette multitude est composée de :
- Charlie qui veut tout réparer à la Vill'Hervé et regarder à la dépense au lieu d'épouser Basile le docteur, de vivre à ses crochets et de fêter Noël au foie gras.
- Geneviève qui ment alors qu'elle ne ment jamais.
- Bettina qui est odieuse avec les êtres les plus sensibles de l'univers, à savoir : elle, Hortense, et Merlin Gillespie, le livreur magicien de Nanouk Surgelés, très, très laid à l'extérieur, mais si, si beau à l'intérieur.
- Et Enid qui a des conversations à bâtons rompus avec son ami Gnome de la Chasse d'eau.
Hortense se demande ce qu'elle va devenir. Architecte de monuments éternels ? Zuleika Lester, du feuilleton Cooper Lane ? Chirurgienne de maladies incurables ? Et si c'était comédienne ? Une idée folle, complètement Saint-Pierre-et-Miquelon, comme dirait Muguette, la locataire malade de la maison voisine.
Hortense sait que pour devenir comédienne, il faut une présence, une voix, de la mémoire, mais surtout de l'entraînement. Alors elle referme SON journal, elle quitte SA falaise, et elle fonce.
Mon avis : J'ai rencontré les cinq sœurs il y a déjà deux ans, avec le premier tome, Enid. Cette fois, nous faisons plus ample connaissance avec Hortense, qui tient un journal intime. Elle va faire la connaissance de sa nouvelle voisine, Muguette qui est malade et qui va l'inciter à faire du théâtre.
Du côté de autres membres de la fratrie, Charlie tente de préparer Noël avec le peu d'argent qu'elles ont, Geneviève cache quelque chose, Bettina repousse Merlin, le livreur qu'elle trouve très laid, et Enid pose pleins de questions et parle à son ami Gnome de la Chasse d'Eau.
J'ai trouvé qu'Enid avait moins d'importance, c'est probablement le personnage dont nous entendons le moins parler cette fois, peut-être parce que le premier tome se concentrait principalement sur elle. En revanche, j'ai trouvé que Bettina prenait beaucoup d'importance... Un peu trop, même. J'avais l'impression de lire son histoire à elle, et pas celle d'Hortense.
J'ai trouvé qu'Enid avait moins d'importance, c'est probablement le personnage dont nous entendons le moins parler cette fois, peut-être parce que le premier tome se concentrait principalement sur elle. En revanche, j'ai trouvé que Bettina prenait beaucoup d'importance... Un peu trop, même. J'avais l'impression de lire son histoire à elle, et pas celle d'Hortense.
J'étais contente de retrouver les jeunes filles, avec leurs caractères si différents, puisque je me suis attachée à elles. J'ai passé un bon moment de lecture, j'ai bien aimé Muguette et Merlin, les nouveaux arrivants. J'ai trouvé l'histoire entre Merlin et Bettina plaisante, même si elle prenait trop de place à mon goût.
Les parents décédés sont toujours abordés avec délicatesse, sans pour autant tomber dans le pathos. Cette fois, la maladie est également un sujet important du roman, mais rien de larmoyant. C'est une histoire qui, malgré ces drames, reste distrayante et très sympathique.
14/20
Encore un ouvrage que je ne connaissais pas et avec lequel tu m'intrigues :D
RépondreSupprimerJe garde un bon souvenir de cette saga que j'ai lu au collège !
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